Pensez à cet Univers indéterminé où tout est possible. Le talent d’organisation appartient à la Loi de l’Attraction. Si vous vous détendez et permettez à la Loi de l’Attraction de se charger de l’organisation et de la gestion, alors vous pouvez passer votre temps à faire les choses qui vous plaisent.
Abraham, 21 septembre 2002
Optimisez votre temps en vous consacrant chaque jour un peu plus à imaginer et un peu moins à faire. Imaginez un peu plus et faites un peu moins. Jusqu’à ce que finalement la plupart de ce qui vous arrive se passe dans un état d’anticipation calme et serein. Imaginez-vous simplement que vous réussissez en tout, et observez ce qui se passe. Imaginez un peu plus et agissez un peu moins.
Abraham, 24 janvier 1998
Ne vous laissez effrayer par aucune des situations dans lesquelles vous vous trouvez. Ce ne sont rien d’autre que des sous-produits de certains alignement de l’Énergie, qui ne font que vous donner une meilleure perception de ce que vous voulez — et, plus important encore, une plus grande sensibilité pour identifier si vous êtes en mode de réception, ou non.
Abraham, 24 mars 2001
Si chacun pouvait acquérir cette conscience égoïste de demander et de s’attendre à recevoir, tout le monde accèderait au Courant d’Énergie et prospérerait. Mais votre ignorance de ce fait n’aidera pas les autres à le connaître. Feindre qu’il n’est pas important pour vous de poser vos questions ne va pas les aider à recevoir des réponses aux questions qu’ils ne posent pas.
Abraham, 28 août 2004
Notre Diversité Soutient Nos Libertés Individuelles… Alors que vos sociétés continuent à essayer de dicter et d’imposer le comportement humain pour plaire à la majorité — à cause de votre diversité, ça continue d’être une lutte inconfortable qui, sans fin, s’écroule sous son poids économique. Il n’y a tout simplement pas assez d’argent dans le monde pour s’opposer aux courants naturels de liberté individuelle et d’indépendance de la pensée.
Abraham, extrait de l’ouvrage : Le Vortex – La Loi de l’Attraction pour améliorer vos relations
La raison pour laquelle vous voulez la moindre chose que vous voulez, c’est parce que vous pensez que vous vous sentirez réellement bien quand vous l’aurez. Mais si vous ne vous sentez pas réellement bien sur le chemin qui y mène, vous ne pouvez pas l’obtenir. Vous devez être satisfaits de ce-qui-est pendant que vous cherchez à obtenir davantage.
Abraham, 5 octobre 2002
Ceci est toujours vrai : ce que je pense et ressens, et ce qui se manifeste, sont toujours en accord vibratoire. Mais voici le gros hic : ce qui se manifeste ne se manifeste pas instantanément. Pendant ce laps de temps vous avez donc toute latitude pour être négligents… Si une brique vous tombait sur la tête toutes les fois où vous pensez négativement, vous auriez vite fait de mettre de l’ordre dans vos pensées. Mais vous n’êtes pas ici pour être punis pour votre manière de penser. Vous êtes ici pour utiliser vos pensées — et votre attention — pour créer.
Abraham, 7 mai 2005
Vous plaindre de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de recevoir ce que vous avez demandé. Vous justifier à propos de quoi que ce soit, vous maintient en état de refuser de laisser entrer cela même que vous avez demandé. Blâmer quelqu’un vous maintient en état de refuser de laisser entrer ce que vous avez demandé. Vous sentir coupables, vous sentir en colère — peu importe comment vous appelez ça — c’est un refus, il n’est pas conscient. Vous demandez ; vous ne pouvez vous empêcher de demander. L’Univers produit ; il doit produire. Une grande question se pose donc les amis : pourquoi ne le laissez-vous pas entrer ?
Abraham, 10 mars 2001
En affinant en permanence vos idées de ce que vous voulez, votre facteur joie demeurera constant. Et c’est pourquoi il est si important pour vous de laisser tout le monde en dehors de l’équation. Ils sont dans leur propre jeu ; ils ne comprennent pas le vôtre. Accordez-leur une pause ; arrêtez de leur demander ce qu’ils pensent. Commencez à prêter attention à la façon dont vous vous sentez. La joie sera immédiatement à vous, et tout ce que vous avez jamais pensé qui vous rendrait heureux commencera à se déverser, apparemment sans effort, dans votre expérience.
Abraham, 25 octobre 2003
L’Univers connaît l’essence de ce que vous cherchez à atteindre et il vous concède ce que vous voulez réellement, dès l’instant où vous vous détendez et où vous lui ouvrez la porte.
Lorsque vous commencez à savourer l’essence de votre désir, et non pas le besoin de sa manifestation, vous en devenez pour ainsi dire le possesseur, sans avoir à gérer la complication des détails de la manifestation.
L’essence de vos désirs ne disparaîtra jamais. Vos désirs sont éternellement à vous, et ils viendront à vous au meilleur moment. Vous pouvez influencer le meilleur moment en disant des choses comme : « L’Univers connaît la question dans son ensemble. Je vais le laisser en gérer la chronologie. En attendant, je vais juste faire tout mon possible pour continuer à avancer joyeusement. »
Dans cet Univers basé sur l’inclusion, vous obtenez ce à quoi vous pensez, que vous le vouliez ou non. Et donc, si vous dites « oui » à ce que vous pensez, ou si vous lui dites « non » — de toute façon vous l’incluez. En d’autres termes, vous pensez parfois qu’il y a une pénurie de bonnes choses : « Les bonnes choses seront épuisées avant que j’en aie ma part. » Avec humour, vous dites : « Et si mon bateau a déjà mis les voiles quand j’arrive au quai ? » Et nous disons qu’il y en aura un autre, et encore un autre. Votre Courant de ce qui est Bon ne s’épuise jamais. Vous n’avez pas à vous fatiguer en essayant d’engloutir d’un coup ce qui est bon — savourez-donc tout simplement le bon que vous êtes en train d’avaler.
Savourez davantage. Amusez-vous davantage. Plus vous savourez les délices de l’instant, plus continueront d’apparaître pour vous davantage d’instants à savourer.
Abraham-Hicks – Extrait de l’atelier du 2 novembre 2002 à Dallas, TX
Agissez un peu moins et pensez un peu plus… Nous ne sommes pas en train de dire que vous devez arrêter d’agir et tout faire en esprit. Nous disons travaillez vos huit heures, ou vos dix heures, ou vos seize heures. Mais passez juste au moins dix ou quinze minutes — dans une journée où vous faites 8-10-16 heures de travail physique pour entretenir les trucs physiques que vous avez amassés autour de vous — à essayer de trouver plaisir à quelque sorte de vision. Donnez-vous ce moyen-là. Et ces dix ou quinze minutes auxquelles vous prendrez plaisir provoqueront en vous une concentration d’Énergie que l’Univers matérialisera autour de vous. Vous commencerez à remarquer que vous êtes plus productifs avec ces quinze minutes de visualisation que vous ne l’étiez avec seize heures de dur labeur.
Abraham, 9 octobre 1999